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dimanche 25 novembre 2007

Introduction à la Médecine Traditionnelle Chinoise

¤ Présentation

En Chine, plus de 2000 ans avant notre ère, l'observation minutieuse de toutes les manifestations de la vie sur Terre et dans le ciel permit à l'homme de poser les fondements de la philosophie chinoise. Le fait que tout ce qui existe se meut perpétuellement, se transforme, qu'aucun phénomène n'est stable, fut sa première constatation. Puis, en observant au fil des jours la nature des relations qu'entretiennent les divers phénomènes, l'être humain s'est rendu compte du caractère relatif de l'activité phénoménale. Ainsi, le jour et la nuit se présentent en alternance, la lumière ne se définit qu'en regard de l'ombre, le froid du chaud, le silence du bruit, etc. Il existe donc un rapport d'oppositions complémentaires entre tous les phénomènes naturels, aucun d'eux ne pouvant être analysé séparément, mais bien toujours en référence à une autre manifestation.
Parallèlement à ce constat, les Chinois remarquèrent que des rythmes et des cycles organisent les mouvements, les changements : cycles circadiens, saisonniers, annuels, cycles de la vie d'un homme. Ces évolutions périodiques se déterminent selon des phases spécifiques : phase de naissance, croissance, maturité, déclin et mort, cette dernière ne marquant pas la fin d'un cycle mais le début d'un nouveau ; en effet, pour tout phénomène, la mort n'est que l'étape précédant la renaissance, à l'instar de la graines qui, tombant de l'arbre et s'enfouissant dans la terre, va donner naissance à un nouvel arbre.
Ces premières observations ont donné lieu à une classification des phénomènes selon les termes Yin et Yang, "l'obscur et le lumineux", représentation binaire de toutes les manifestations de l'énergie, du principe de vie''

(extrait du livre "Les cinq saisons de l'énergie", d'Isabelle Laading, p.9)

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samedi 8 septembre 2007

Samâdhi pâda , Chap. 1 de Patanjali, traduction de Bouanchaud


I.1 Et maintenant voici l'enseignement traditionnel du yoga.
I.2 Le yoga est la faculté de diriger les activités du psychisme.
I.3 Alors, "le principe de conscience" s'établit en sa réalité.
I.4 Sinon, il y a identification aux activités du psychisme.
I.5 Les activités du psychisme, regroupées en cinq catégories, produisent ou non la souffrance.
I.6 Ce sont : la saisie mentale, l'erreur, l'imagination, le sommeil profond, la mémoire.
I.7 Les saisies mentales sont la perception sensorielle, la réflexion et le témoignage digne de foi.
I.8 L'erreur est une connaissance incorrecte établie sur une interprétation inexacte de la réalité.
I.9 L'imagination est une connaissance formée de mots sans objets réel correspondant.
I.10 Le sommeil profond est un fonctionnement psychique caractérisé par l'absence d'activité mentale consciente.
I.11 La mémoire est le fait de retenir un objet expérimenté.
I.12 La faculté de diriger les activités du psychisme s'obtient à la fois par la pratique persévérante et le détachement.
I.13 La pratique persévérante est l'effort vers cette stabilité.
I.14 Mais elle n'est fermement fondée qu'accompagnée d'une durée prolongée, sans interruption, avec confiance et zèle.
I. 15 Le détachement est la maitrise de l'absence de désir pour les objets vus et entendus.
I.16 Le détachement ultime est l'absence de désir pour les "qualités constitutives de la nature" du fait de la révélation du principe de conscience.
I. 17 L'état de samprajnâta passe successivement par une saisie réflexive, puis subtile, par la béatitude et par la pleine conscience de soi-même dans l'expérience.
I. 18 L'autre état de samprajnâta est la substance d'imprégnations suite à la persévérance de l'expérience psychique du renoncement.
I 19 Etat inné des "êtres libérés de leur corps" et des "êtres invisibles".
I. 20 Chez les autres, la foi précède l'énergie, la mémoire, la concentration parfaite et la connaissance.
I. 21 Proche est le but pour ceux qu'anime une ardente impulsion.
I. 22 Ensuite, des spécificités existent aussi du fait des tendances : doux, moyen et vif.
I. 23 OU bien par un abandon au Seigneur (s'obtient l'orientation des activités psychiques).
I. 24 Le Seigneur est un principe de conscience particulier, exempt des causes de souffrance et des actions, résultats et latences qu'elles entrainent.
I. 25 En lui se trouve l'origine de l'omniscience.
I. 26 Non assujetti au temps, il est le Maitre, même pour les anciens.
I. 27 La "syllabe sacrée" l'exprime.
I. 28 Sa répétition avec concentration sur sa signification conduit à sa réalisation.
I. 29 Alors surviennent l'obtentiont d'une conscience intérieure et la réduction des obstacles.
I. 30 Maladie, inertie mentale, doute, précipitation, épuisement, intempérance, illusion sur soi, manque de progrès, régression sont les obstacles, causes de dispersion psychique.
I. 31 Souffrance, pensée négative, agitation physique, inspiration et expiration désordonnées accompagnent la dispersion psychique.
I. 32 La pratique persévérante d'un seul principe a pour but leur élimination.
I. 33 La sérénité psychique provient de l'attitude mentale d'amitié face au bonheur d'autrui, de compassion active devant son malheur, de joie face à sa vertu et de neutralité vis-à-vis de son erreur.
I. 34 Ou bien la sérénité s'obtient par l'expiration et les rétentions de souffle.
I. 35 Ou bien la stabilité mentale est obtenue par le développement de l'objectivité sensorielle.
I. 36 Ou encore par la dissipation de la souffrance et une lucidité lumineuse.
I. 37 Ou bien l'esprit prend comme objet de concentration un être aux passions apaisées.
I. 38 Ou bien en s'appuyant sur la connaissance issue des rêves et du sommeil profond.
I. 39 Ou par tout enquête méditative conforme à ses affinités.
I. 40 Alors la maîtrise des facultés psychiques s'étend de l'infinement petit à l'infinement grand.
I. 41 Le samâpatti survient lorsque, les activités psychiques étant focalisées, l'esprit transparent tel une pierre précieuse reflète uniformément les caractéristiques de l'objet perçu, de l'instrument de perception et de "l'agent qui perçoit".
I. 42 Le samâpatti relatif au plan dense est celui où sont mêlées les représentations de l'objet : nom, essence et connaissance que l'on en a.
I. 43 Le samâpatti au-delà du plan dense de l'objet est l'apparition de sa seule essence. La mémoire est totalement purifiée, comme si l'esprit était dépourvu de son identité.
I. 44 Et par ceux-ci s'expliquent précisément le samâpatti relatif au plan subtil et au-delà dont les objets sont subtils.
I. 45 Et la subtilité de l'objet culmine dans l'absence de manifestation.
I. 46 Ces quatre états sont précisément le samâdhi avec germe.
I. 47 Dans la parfaite maîtrise du samâdhi au-delà de la saisie subtile de l'objet, brille sereinement le Principe essentiel.
I. 48 Ici, la connaissance suprême est porteuse de vérité absolue.
I. 49 Révélant l'essence spécifique de l'objet, elle diffère des deux connaissances issues de la tradition et de l'inférence.
I. 50 L'imprégnation née de cette connaissance suprême s'opppose aux autres imprégnations.
I. 51 Dans l'arrêt aussi de ce samâdhi par arrêt de tout apparaît le samâdhi sans germe.

Posté par Yog sur le forum Sous l'arbre de Bô

dimanche 2 septembre 2007

Le désaxage de la conscience


''On me demande souvent quoi faire une fois qu'on est dans l'état de conscience idéal pour se projeter. Il suffit en général d'utiliser la technique toute simple que je nomme "désaxage de la conscience". Je ne crois pas l'avoir lue sous cette forme si simple jusqu'à présent, alors que c'est pourtant la méthode la plus rapide. A vrai dire, ce n'est même pas vraiment une méthode, puisque cela revient à dire que sortir de son lit requiert une méthode. Mais il y a juste un petit "truc" à saisir pour faire des projections très rapidement et à répétition.

Dans un état de relaxation physique et mentale profond (depuis l'état de veille ou, plus rapide, depuis un réveil nocturne ou matinal), allongé sur le dos dans votre lit, vous ne sentez plus certaines parties de votre corps et semblez à la limite du sommeil, pourtant votre conscience demeure alerte bien qu'en apparence "embuée".

Prêt à vous projeter, vous devez alors désaxer votre conscience pour terminer définitivement le shift hors du corps physique. Pour ce faire, rien de plus simple : visualisez que vous vous retournez pour observer le mur à votre gauche (ou votre droite). Essayez de bien maintenir la sensation de regarder dans une autre direction que celle de votre corps physique, en restant concentré sur votre environnement. Si cela force un peu et que votre conscience fait des aller-retours entre la position réelle du corps physique et l'autre position visualisée, laissez vous aller encore un peu plus profondément, et réessayez en douceur, en forçant légèrement mais sans précipitation. Des symptômes habituels de projection peuvent alors se manifester (battement dans la poitrine etc.) Sinon, en général, la nouvelle position imaginée du schéma corporel (de la "sensation du corps"), à 90° par rapport au corps physique, est aisée à maintenir.

A partir de là, il suffit de lancer ses jambes vers l'avant (depuis la nouvelle position) comme pour se relever d'un bond. Vous êtes en projection. Si vous avez des difficultés à voir, n'essayez pas d'ouvrir les yeux, mais demandez fermement à obtenir la perception visuelle ("je veux voir", "clarté" etc.) et continuez sans le cas échéant, en vous éloignant de votre lit, elle apparaîtra plus tard.

Le désaxage permet ainsi tout en prenant son temps de séparer complètement le double projeté du corps physique au sein du même plan spatial, pour terminer le passage complet de la conscience principale dans ce dernier sans faire de nombreux aller-retours de conscience entre les deux. Cette méthode permet aussi de se projeter malgré une relaxation physique un peu insuffisante, bien qu'il faille alors forcer. Une fois qu'on peut se maintenir dans un autre axe spatial au niveau de la conscience, le tour est joué.''

Par Kalonek du forum d'Astral Sight

lundi 30 juillet 2007

Le Yoga de Patanjali




mercredi 28 mars 2007

Dépasser ses Peurs


Toutes les émotions sont fondées sur la peur : la peur de l’inconnu, d’avoir faim ou soif, chaud ou froid, de perdre ses proches ou ses amis, de perdre sa position sociale ou sa sécurité matérielle, etc. sans oublier la peur viscérale de la maladie, de la vieillesse et de la mort. En relation avec le désir, c’est la peur d’être séparé de ce qui est agréable. Avec l’aversion, c’est la peur de rencontrer ce qui est désagréable. Avec la jalousie, c’est la peur d’être dépassé par les autres et de ne pas pouvoir atteindre ses objectifs. Avec l’orgueil, c’est la peur d’être critiqué ou de ne pas être reconnu par les autres. Avec l’ignorance, c’est de redouter le changement et de nier l’impermanence de tous les phénomènes.

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jeudi 8 mars 2007

L'amour véritable


Quelques textes extraits du reccueil "Du fini à l'infini" de Swami Muktananda, Yogi et mystique éclairé. Ses textes sont criants de vérité. Ils aident à effectuer un réel travail sur soi. Dans ce livre, des personnes à la recherche de spiritualité posent des questions auxquelles Muktananda apporte ses réponses.

Comment peut-on apprendre à aimer ?

Je suis sûr que vous aimez toutes sortes de choses dans la vie. Ne s'aime-t-on pas soi-même ? On porte de beaux vêtements, des bijoux, etc. N'est-ce pas une façon de prendre refuge en l'amour ? Les gens s'aiment, ou croient qu'ils s'aiment. Si l'on veut aimer réellement, il faut beaucoup méditer. Dans le corps se trouve un endroit spécial que l'on doit atteindre et où règne l'amour. Quand on y accède, on n'éprouve plus que de l'amour. La haine disparaît. Pour pouvoir aimer, il faut penser à l'amour, il faut méditer sur l'amour, il faut se lier d'amitié avec l'amour.

Comment surmonter la douleur causée par la perte de l'amour ?

L'amour est en vous en permanence. Il est constant. Vous ne le perdez jamais. Même si vous croyez l'avoir perdu, vous pouvez le retrouver dans le coeur. Si la perte de l'amour correspond à la perte de quelqu'un, à la perte d'un objet aimé, il ne s'agissait pas du véritable amour. Ce n'était qu'une illusion.

La nature de l'amour est existence, conscience et félicité. Il est toujours présent; il rayonne constamment en vous. Même si l'être que vous aimez s'en va, l'amour demeure toujours en vous. L'amour est quelque chose qui réside dans le coeur en permanence.

S'intérioriser dans l'espoir de trouver l'amour à l'extérieur est-il néfaste à l'intériorisation ? En ce cas, comment s'intérioriser tout en renonçant à rechercher l'amour et d'autres choses à l'extérieur ?

Si vous trouvez l'amour en vous-même, vous n'avez pas besoin de renoncer à le rechercher à l'extérieur. Quand on découvre l'amour en soi, amour intérieur et amour extérieur fusionnent. Ils ne font plus qu'un. Quand vous découvrirez l'amour intérieur, cet amour vibrera dans tout ce que vous ferez et vous le verrez aussi à l'extérieur.

L'amour est la source de ce monde. Toutes les religions, toutes les actions, tous les noms et toutes les formes existent au sein de cet amour. Tout vibre dans cette félicité, dans cet amour. Après l'avoir découvert en soi-même, on ne se pose plus de questions sur ce que l'on doit faire.

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L'alchimie - Quête de la sérénité


Voila l'extrait d'une conversation sur l'alchimie, tirée du forum d'AstralSight :

Citation:

Au sujet de la transmutation (du plomb en or), je pense que celle-ci est effectivement possible. À mes yeux l'alchimie est une voie double dont un des supports est la matière et l'autre l'alchimiste lui-même (la matière servant de reflet au travail intérieur de l'alchimiste). La transmutation intérieure se répercute donc sur la matière. Pour les écoles et cours, je n'en connais pas. Il existe des Adeptes qui acceptent d'enseigner, mais ils choisissent leurs disciples qui de toute façon doivent déjà avoir fourni un certain travail je pense. Et puis, il existe des ordres qui travaillent avec l'alchimie, mais là encore il faut y avoir accès... Enfin, je ne peux pas trop te renseigner sur ce sujet.

Citation:

je crois qu'il est bon de savoir dés le début que la pierre philosophale et la transmutation des métaux est en faite une image , un symbolisme qui par la suite a enflammé l'imagination des non initiés au fil du temps et plus encore au 19 ème siècle je pense la ou l'on a fait de tout ça une magie mystérieuse , dénaturant finalement le vrai message des alchimistes .. la métaphore des matériaux transformés en Or est évidemment celle de l'âme atteignant la perfection divine , là était la recherche des alchimistes , il faut savoir qu'à l'époque le mysticisme et la science n' étaient pas séparés et les alchimistes , qui sont en fait les ancêtres des chimistes opéraient aussi bien dans la physique que dans la mystique n'y voyant aucun dualisme. En plus Nicolas Flamel aurais reçut cet enseignement d'un ange qui lui aurait montré un grimoire dans un rêve..penser vous vraiment qu'un ange s'inquiète de notre enrichissement en Or ? - ou serai-ce plus pour le salut de l'âme des hommes par cette métaphore du grossier au parfait ce qui me paraît beaucoup plus plausible ..

Citation:

L'alchimie symbolique évidemment. Mais l'alchimie opérative existe bel et bien. Le travail sur les plantes, la spagyrie, travaillera d'avantage sur les elixirs végétaux. Le but de l'alchimie n'est évidemment pas la transformation du plomb en or. L'image de l'enrichissment intérieur est exacte. Cependant passer par un travail concret, réel, en harmonie avec les substances que nous utilisons est une voie de travail très intense. il est possible par exemple de transposer ses propres matières viles dans la plante ou la substance que nous travaillons, pour les transmutter en matières nobles. La pierre philosophale n'est pas un mythe. Elle fait preuve dans l'adage issu de la table d'emeraude : Ce qui est en haut est comme ce qui est bas. C'est un travail de dépouillement (solve coagula) dans la matière pour attendre à la quintessence, à cette harmonie, cette matière divinisée, passant par différentes étapes, œuvres (l'œuvre au noir, l'œuvre au blanc, l'œuvre au rouge). Les demeures philosophales de Fulcanelli est certainement l'œuvre majeure. Tout y est. Mais il ne faut le lire à la lettre. Il y a derrière les mots d'autre sens. L'alchimie est un langage codé. C'est le travail d'une vie.

Citation:

La matière sert notamment à vérifier, valider le travail qui se fait intérieurement. Elle est le reflet du travail de l'alchimiste. Ce qui est chouette avec cette voie c'est qu'elle permet de garder les pieds sur terre, d'avoir un bon ancrage (puisqu'on se confronte sans cesse à la matière).

Citation:

En dehors du côté spirituel, je dirais qu'il n'y pas d'autres buts finalement. Le fait est que considérer l'alchimie du simple point de vue symbolique ou métaphorique fait passer à côté de quelque chose d'essentiel. À savoir que l'alchimie est une discipline qui travaille sur le monde du vivant, et que le but quelquepart, est de révéler l'esprit (ou la lumière) qui réside dans la matière. Il ne s'agit plus ce moment là de valider un concept métaphysique, idéologique à l'intérieur de soi. Il s'agit d'expérimenter dans la matière, dans le réel finalement, une voie qui amène à transmuter la matière. Et cette matière transmuttée possède alors de toutes autres propriétés, qui peuvent être un remède.Il s'agira d'abord d'un remède pour le laborant, parce qu'il aura travaillé sur sa propre structure, mais aussi pour celui qui ingérera et intégrera cette matière sublimée en lui.

Dans la suite du billet, un texte tiré du site Alchimie et Hermétisme.

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mercredi 24 janvier 2007

30 techniques de projection astrale


Traduction par Jsf, source

Il y a de nombreuses méthodes disponibles pour induire une projection, dont la plupart utilisent la puissance de la concentration et de la relaxation pour réaliser la séparation, celles-ci sont les plus communément utilisées.

Quelle que soit celle que vous choisissez, vous êtes peu susceptible d'obtenir un résultat la toute première nuit, ou même les quelques premières nuits – certaines de ces techniques peuvent demander une pratique importante, donc prenez votre temps et essayez de ne pas devenir frustré si rien ne se produit au début. Ce serait une bonne idée de sélectionner les techniques qui vous parlent le plus et d'essayer chacunes d'entre elles pour une semaine ou deux.

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mardi 23 janvier 2007

Techniques de base de la méditation


Traduit par HeyMrYoshu, début oct. 06. Source : Astralsociety

Cet article de Magus Liber a pour but d’expliquer, d’explorer et de distinctement détailler les bases de la méditation, comme le titre l'indique. Je vais essayer de résumer au mieux...

L'IMMOBILITÉ

La première étape de la méditation est de ne pas bouger. Arrangez vous de sorte que vous soyez confortablement installé, que votre position soit assise ou allongée. Conservez la position aussi longtemps que possible. Ne faites pas attention aux mouvements ou reflexes involontaires tels que la déglutition, les spasmes musculaires, ou le fait de cligner des yeux. Il ne doivent, en aucune façon, gêner l’exercice de méditation. Quand vous arrivez à rester immobile pendant au moins un quart d'heure, passez à l’exercice suivant.

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samedi 30 décembre 2006

5 Sorties Astrales

Depuis quelques temps je commence à faire des sorties astrales le matin. Au réveil c'est extra, le corps étant totalement endormi et la conscience à peine éveillée, cela facilite grandement l'éloignement du corps physique. Bien sur, dès l'instant où l'on émerge, il ne faut surtout pas bouger ou paniquer, juste avoir une envie détachée de s'évader ... Les trois premières se sont déroulées la même matinée, les deux suivantes un autre jour.

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mardi 21 novembre 2006

Songez-y ...


Songez-y
Merci à Michel_G pour cette vidéo.

mardi 7 novembre 2006

La Sphère dynamique à lignes kinesthésiques

Cet exercice est un composite de deux autres déjà connus : les spirales de Robert Monroe et le point balladeur du même auteur.

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lundi 6 novembre 2006

Le point mobile de conscience

Dans l'Antiquité, et pas seulement en Grèce, on était persuadé que la conscience se situait au niveau du coeur. On raisonnait avec le coeur. On "savait par coeur". On parlait avec "la main sur le coeur". On se livrait "à coeur ouvert", etc. Nous avons beaucoup d'expressions populaires qui gardent la trace de cette conception.

Puis de façon tardive qui coïncide avec l'époque cartésienne, on s'est mis à situer la conscience au niveau de la tête. La situer au niveau du coeur semblait physiologiquement une aberration.

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dimanche 5 novembre 2006

Faire le plein énergétique

EXERCICES :

  • 1. On est en position assise ou allongée et on ralentit sa respiration. Il faut tenter d'arrêter le flux des pensées, rechercher la sérénité de l'esprit.
  • 2. On cherche à sentir son coeur battre dans tout son corps. Pour cela, il suffit de faire des rétentions d'air en les allongeant très progressivement afin de ne rien forcer. Lors de la rétention, on place sa conscience dans son coeur et on cherche à étendre ces ressentis. Au fur et à mesure, on peut ressentir son coeur battre, palpiter un peu partout. Si l'on perd un ressenti sur un endroit du corps, il suffit de refaire une rétention et repartir au niveau du coeur.
  • 3. Il faut ensuite accepter un postulat à savoir que dans l'atmosphère, existe une énergie : le Qi. Ce postulat possède une réalité assez probable étant donné la mise en pratique dans les arts martiaux, le yoga, certaines médecines. Donc il faut ensuite visualiser toute l'atmosphère de la pièce dans laquelle on se trouve, d'un blanc lumineux, brillant, éclatant. On peut penser à la neige des hautes montagnes, on peut penser au gaz du néon, etc.

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vendredi 3 novembre 2006

Découverte des ressentis "en aveugle"

Les ressentis n'appartiennent pas seulement au corps physique. Le but de cet exercice est d'apprendre à être réceptif à des ressentis provenant des autres corps énergétiques.

OBJECTIF :

Deviner dans le noir complet, la position d'un objet et le contenu d'un livre. Le premier sans le toucher, le second en le touchant.

On aura pris soin de choisir un objet quelconque que l'on apprécie et de le placer sur une table ou une large surface. On installera aussi plusieurs livres sur cette même surface.

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